Chronique: La grève sans l’aimer

Les temps sont bien à plaindre très chers lecteurs ! Depuis plus de deux mois, l’Université est prise dans une sorte de bourbier où elle semble plus que jamais engluée. Les enseignants désignés responsables de cette perfide comédie rechignent à être indexés comme les lampistes. Néanmoins, il sera difficile pour eux d’échapper à cette étiquette. Car d’un côté, ce sont les « bellicistes » qui ouvrent les hostilités tandis que de l’autre, ils…